Khorog, j’y suis, j’y reste

Journée active ; centre ville pour obtenir des autorisations d’entrée dans les parcs, puis les faubourgs pour réparer la voiture ; le diguiling guiling couic couic provient, après recherche, du silent bloc en bas de l’amortisseur avant gauche

Le voici remplacé ; repos l’après midi, puis queques courses en ville, un peu tardives : le marché est fermé

et nous regagnons le Pamir Lodge, la nuit tombée

Mais la cerise du soir, c’est la prière du soir dans la salle toute proche, des chants d’hommes, de femmes, de groupes ; des prêches en tadjik, anglais et russe.
On écoute ça, du jardin d’à côté, on zieute les danses.
Nous sommes chez les ismaeliens, les mêmes qu’à Karimabad au Pakistan en 1991.

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