L’Oural

Ce matin : moustique, pas de vent, eau douteuse, odeur d’égout, pluie. On ne peut pas gagner à chaque fois.
Un petit tour à Tchaikovsky ; un slogan de Lénine « toujours prêt » :

et le festival de musique pour les jeunes :

Une belle route, pas un chat, très agréable, mais nous sommes « réveillés » par la voiture qui fait un bruit de kalashnikov à l’arrière. Rien sous la voiture, ce n’est pas l’échappement, ni un caillou contre un disque de frein. Hésitations, deux russes en camionnette nous aident et nous suivent pendant 20 kilomètres. Ça ne le fait plus…
Et des pompes partout


On boit un café près d’une source ; il y a une croix orthodoxe et des rubans ! Nous sommes dans l’Oural, le chamanisme est présent.
17 heures, nous mettons le pied sur la grand route ; et on va y rester jusqu’à Surgut.
Partout des vendeuses-vendeurs : pas un sommet de côte sans une lada recouverte de seaux de chanterelles.
Après calculs, vitesse du convoi : 400 km par jour depuis Poitiers et 300 km par jour depuis l’entrée dans la Féderation. L’effet « petites routes »…
Resto du soir : bortch, et goulash-purée, comme tous les ans.


Et on dort là (16°, il pleut) :

(gps 56.87043 , 57.68063)

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