Départ 8h30, pour ne pas rater l’ouverture. Par erreur, on gare la voiture à 1km de l’entrée, aujourd’hui, c’est décidé, on marche. L’expo a pour thème les énergies nouvelles.
Le pavillon central est consacré au sujet ; c’est bien fait, mais surtout son architecture en forme de boule est spectaculaire, magnifique, impressionnante.
Les pavillons nationaux, en revanche, cherchent à décliner le sujet à leur mode locale, et c’est bien souvent plat ou bêtifiant (par exemple, le pavillon des USA ou de la Chine et bien d’autres). Quelques uns cherchent à faire mieux (l’Allemagne), d’autres sont seulement folkloriques, c’est sympa (Lituanie, Hongrie), enfin d’autres ne sont que des boutiques de souvenirs (Inde, pays africains)
Le pavillon français a comme défaut d’être inhabité et de chanter la gloire de Total, St Gobain, Véolia, et j’en oublie, entreprises toutes plus « énergies du futur » les unes que les autres : navrant ; par contre, une salle consacrée au projet SITER est intéressante.
Deux incontournables francais :
Un pavillon est consacré aux arts :
Point positif, le brassage, les grands mères d’Almaty voisinent avec les saoudiens et les fidjiens ; les camerounais du groupe de rap ARME, basés à Moscou, tellement heureux de parler en français avec nous ; les indous moitié marchands de rien moitié bolywood ; les élèves kazakhs, forts nombreux, en voyage d’étude
Tout ça vaut le détour par Astana.
On finit tard, puis resto comme hier, et retour au camp16 = camp15.
Demain, on prend le chemin du retour.