Nous voilà partis ; l’idée était de rejoindre Irkoutsk en deux jours, mais nous allons plus vite que nous le pensons ! Finie la moyenne mongole de 30km/h, ici, c’est le double. Peu de photos :
Celle-ci, prise sur le bac, qui nous évite de repasser par Oulan-Oudé
celle-ci, prise un peu plus tard, sans doute notre dernière photo du lac, pour cette année
et pour la tradi, les poissons du lac, en exclusivité sur le Baïkal, les omouls, à réclamer aux poissonniers du marché Notre Dame, à Poitiers ! Un délice !
Reprenons : « À la pêche à les zomouls, je ne suis pas zallé, maman » etc…
On quitte la route sinueuse en corniche, au bord du lac, pour attaquer la montagne… belle route, sinueuse également et encombrée —c’est la rentrée du dimanche soir sur Irkoutsk.
On cherche une stoïanka, repérée l’an passé, hélas, sans succès, mais Danièle découvre ce lieu magnifique, au bord de l’Irkout, face à une immense falaise rouge :
Pas loin de là, une base de vacances diffuse une musique assourdissante et… pas un seul moustique ! Un lieu idéal, et l’impression curieuse de ne pas savoir où l’on est…
Sibérie secrète…