Saryözek

Départ 9h, une très bonne nuit, temps gris. Route du Nord, suite :
Un abribus :

un petit col à 1700m

Route déserte, fond de vallée cerné de montagnes, un peu comme d’hab.
Arrivée à Saryözek, courses chez Rita

selles à la quincaillerie

un portrait au resto

et des ennuis avec la police de la route mais je ne paye pas. Ils sont ici, comme ils étaient en Russie, il y a 10 ans.
Un peu plus loin, ma collection de « moto-antenne » s’agrandit (mais j’ai un peu triché) :


Ce soir, on dort là, face aux montagnes

Le réchaud à gaz pétouille un peu, mais le moral est bon :

2 réflexions sur « Saryözek »

  1. L’abri-bus abrite des chevaux. C’est d’un banal ! Chez nous, ça abrite des vélos, des élèves, des ados amoureux, des vieux qui s’ennuient et regardent passer les bus parce que les trains, c’est trop loin. Mais de toute façon, ici comme ailleurs, jamais un abri-bus n’a abrité un bus. Il fallait que ce soit dit.

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