Départ 9h, une très bonne nuit, temps gris. Route du Nord, suite :
Un abribus :
un petit col à 1700m
Route déserte, fond de vallée cerné de montagnes, un peu comme d’hab.
Arrivée à Saryözek, courses chez Rita
selles à la quincaillerie
un portrait au resto
et des ennuis avec la police de la route mais je ne paye pas. Ils sont ici, comme ils étaient en Russie, il y a 10 ans.
Un peu plus loin, ma collection de « moto-antenne » s’agrandit (mais j’ai un peu triché) :
Ce soir, on dort là, face aux montagnes
Le réchaud à gaz pétouille un peu, mais le moral est bon :
L’abri-bus abrite des chevaux. C’est d’un banal ! Chez nous, ça abrite des vélos, des élèves, des ados amoureux, des vieux qui s’ennuient et regardent passer les bus parce que les trains, c’est trop loin. Mais de toute façon, ici comme ailleurs, jamais un abri-bus n’a abrité un bus. Il fallait que ce soit dit.
Comme dit Philippe U. « c’est pareil partout »