Après une courte nuit devant le poste de police, et une salade (russe) olivette partagée avec l’officière de garde, nous voilà partis dès 8 heures pour rejoindre Kertch
Deux fois deux voies, mais c’est long. Un Ouralans de la guerre :
Un hotel-café-bar (salle de sport-sauna-piscine) plutôt bien —on ne profite que de la terrasse :
Il commence à faire chaud 30-32°. Vignes sur la mer Noire :
Et arrivée à Port Cafcase ; ferry
où l’on apprend que la retraite russe vaut 25% du dernier salaire (à comparer à nos 75% en France) :
Arrivée vers 11h, chez Sergey Pichurichin. Notre chambre nous attend. On entend le bruit des vagues de la mer Noire.
Le bruit des vagues de la mer Noire
Le bruit noir de la mer vague
Le vague bruit de l’amer noir
Le bruit ? La mer Noire divague
La Noire bruit des vagues de la mer
Le bruit des Noirs : merde à la vague !
Les noirs débris des vagues de la mer
La mer noie le bruit des vagues
Kerch qu’on nous cache
Ta-ta-tar.