Départ 9h, après une bonne nuit, au chaud et au sec, et un bon petit dej à l’hôtel. Belle route déserte, mais le temps est instable, disons qu’il ne pleut pas tout le temps. Des forêts, puis quelques champs. Nous sommes à 100km de Krasnoïarsk, et le colza commence à fleurir. Beurk. Être si loin et voir du colza, c’est nul ; heureusement, on traverse l’Ienissei, immense. Cela console du colza.
Au resto de midi, ils annoncent « cuisine de l’Est »
Je mange un tchebouriek, c’est comme un rounchour mongol, mais en plus gros
Aux bords des routes, vente de produits locaux :
Au passage, la leçon numéro 1 du livre « le russe sans douleur » :
Et ce soir, on dort dans un champ, ici :