Une petite nuit (en pente) contre le grillage aux chameaux. Nous quittons ce lieu bizarre sous la protection des gardiens :
Et nous achevons la traversée du parc, commencée la veille au soir ; les chevaux se protègent de l’adversité :
Hourrah, enfin, une poste ouverte pour Jean-Francois Cerisier… Donc la carte postale part aujourd’hui, 31 juillet… (à suivre)
Et puis grande décision, nous changeons nos plans : au lieu de choisir la frontière Ouest (vers l’Europe), choix de la frontière Est, afin de régler nos comptes avec la piste de l’Irtich, de Omsk à Tobolsk… Un échec vieux de quatre ans !
La boue nous manque !
Triste photo, plusse nous nous rapprochons de la Russie, plusse les bouleaux sont malades. Un tsunami :
Et nous dormons là, dans une clairière fraîchement fauchée
Demain, nous serons à Omsk.