Nous avons quitté hier soir Naryn en direction d’Osh, la seconde grande ville du pays après la capitale Bishkek. Mais Osh est loin et les routes — non revêtues — sont dures aux carrosseries.
Montée vertigineuse vers un col, pourtant pas bien haut
Des reliefs bizarres, l’érosion « fait du spectacle » :
Et des contrastes entre les zônes arides et les champs irrigués où la fenaison bat son plein.
Et le blindage lâche encore d’un côté ; réparation à Kazarman, ville très chaude, et d’influence russe évidente,
Maintenant, ça va tenir !
Bivouac un peu après Kazarman, au bord d’un affluent de la Naryn
Et il y a 10°, c’est tout benef.
je me régale toujours de voyager en votre compagnie et de voir des paysages nouveaux et surtout ça nous rafraichit car après l’épisode canicule la température reste au-dessus des 30°, ca fait du bien de vous voir grelotter..
Merci de penser a nous ; aujourd’hui on ne grelotte pas, mais ça revenir ! Bises, en espérant que ça se rafraîchisse chez vous.