Matinée sans se presser ; un troupeau, vu de notre lit
et un papillon
On quitte notre bivouac perché, vue sur UB, à travers les arbres
et vue sur une banlieue, en dessous de nous ; un délice, pour un urbaniste, non ?
On part vers 11h, cap à l’est. Un camion de laine, au passage ; ça déborde de partout comme d’habitude
On repasse au large de l’immense statue de Gengis K., toujours aussi impressionnante
Le resto de midi
et le resto du soir
Deux restos dans la même journée : c’est qu’on a je ne sais pas combien de centaine de km de piste à faire, alors on se ménage.
Énorme orage, quand on s’arrête, pas de photo du bivouac de ce soir.
Pour la remplacer, celle-ci, prise cet après midi. Le dell orange, toujours la grande classe