Départ 8h45, beat temps ; il y a eu de la circulation toute la nuit —on voyait les phares au loin, depuis notre bivouac perché. Mais où vont-ils donc ? Ah, bonne nouvelle, il ne reste que 350km pour atteindre Oubé, miracle des nombres.
Un peu après, on va chercher de l’eau dans un village dont je ne retrouve plus le nom. Navré. Le jeu est de trouver ce genre de fontaine municipale, sans y passer des heures… Aujourd’hui, ça a été vite
En passant à Baruunburen, une grande fête se prépare. Bientôt, autant de festivals qu’en France, des chevaux partout, des yourtes regroupées, une arène de lutte pas loin. On passe.
Repas de midi au même resto que l’an passé, à Bayangol, toujours aussi bon
et une loco au passage à niveau (il n’y a qu’une voie ferrée en MGL)
Péage à l’approche de la capitale (c’est 1000T = 0,40€ pour les voitures)
Et c’est l’arrivée. Comme l’an passé, je dédie ma statue préférée à Pierre Coirier, qui voulait tant aller à Oubé…
Nous traversons la ville, la circulation ne me paraît pas aussi folle que l’année passée, je suis blasé ? Et nous retrouvons aujourd’hui 2017/07/23, le bivouac de 2016/06/23 ! Tout est en ordre, tout va bien.
Demain, Toyota.