21/07
Départ 10h, une nuit moyenne, dans les champs de soja.
En route, pour là où la route finit.
km473, un village qui s’appelle Komarovka (en français, Moustiquiers).
À 15h : Vladivostok 200km, ça approche, ça approche. Mais faut reconnaître que la flore exceptionnelle du Primorié… bof, les arbres sont luxuriants, quelques essences qu’on reconnaitrait si on descendait de voiture, des fromagers, comme en Guyane ? Je supute.
17h : Danièle a vu la mer du Japon (info à croiser, prudence) ; deception, elle s’attendait a voir le Pacifique !
On finit, en cherchant un garage, par arriver sur une presque ile, la baie de l’Amour à tribord et la baie de l’Ouglov à babord. On y est.
La soirée s’annonce bonne, la terrasse du bistro donne sur la baie —ne me demandez pas laquelle, la SanPelegrino est trop forte, ce soir, pluss la biere et les chachliks, ça va, ça va.
À pied jusqu’au phare Tokarievskovo, ballade tradi de toute la ville et puis on va dormir là. VVO, c’est fait, il reste plus qu’à finir Magadan une autre année, et on aura « fait » le plus gros.
Bisof à toussov ! Hurra ! Hips !
C’est quand même fortiche.
Pour revenir, il faut juste rembobiner le fil.
J’évite de trop penser au retour ; pour l’instant, la voiture est réparée, nous avons une partie de pêche aujourd’hui, puis nous allons tourner dans le Primorié, enfin on retournera quand le vent tournera. Amicalement.
Chapô ! Bravô et tuttô quantô. J’espère que vous aviez assez de petits cailloux blancs depuis Poitiers pour retrouver le chemin du retour.
😉