Muravera

C’était un très bon camp. Un bain dès le matin, sans tambour ni trompette ni maillot. Je sais pas comment c’est possible, mais on étaient prêts à partir à midi pile. Bizarre.
Et route vers le nord.
La route, on dirait un décor de théâtre.

Courses —et cappuccinos— dans la petite ville de Muravera.
Jolie ville, semble plutôt opulente…

L’orange sarde serait-elle plus rentable que l’espagnole ?
Et on cherche assez vite un endroit pour s’arrêter. Normal… en partant à midi…
On cherche vers le Capo San Lorenzo, mais sans succès

Et le miracle se produit. Un bain, l’apéro, une insalata de polpo et on dort là.

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