Une bonne journée, peu de kilomètres mais du crapahutage intense :
– piste ultra raide pour remonter de notre camp d’hier soir
– même chose pour aller vers une mine d’argent… mais les consignes de sécurité sont telles qu’on abandonne (bien désinfecter les chaussures, surtout ne pas se baigneren mer, etc…)
-et une dernière pour trouver le camp du soir
Notre italien progresse :
Un petit tour à Fertilla, son pont romain, bricolé médiéval
encore utile aux pêcheurs
Les panneaux du Parc Régional Calik sont rédigés en 3 langues, Italien, Anglais et Catalan (Ruben m’avait prévenu)
Un monument célèbre l’accueil des étrangers :
Pas tous les étrangers, toutefois : « ICI, EN 1947, LA SARDAIGNE A ACCUEILLI FRATERNEMENT LES EXILÉS D’ISTRIE, DE FIUME ET DE DALMATIE ».
Ça n’a pas du plaire au Maréchal Tito.
Au camp du soir, première bouteille vide : Alghero Cagnulari (cave Santa Maria La Palma)
On dort là