Une journée de déluge. Bizarrement, elle avait commencé avec un petit soleil… mais pluie une bonne partie de la nuit, et le matin, un coup de vent énorme. Mais la ten-ta-te-nu.
On décide de retourner au point de depart vers le mont Gomi, comme le 25 juillet.
Mais le temps vire au si mauvais que Danièle propose un hôtel.
Mais pas d’hôtel possible :
– le premier hôtel accueille l’orchestre philarmonique de St Sulpice les Feuilles —le théâtre est juste à côté, donc complet ;
– le second est tout neuf mais n’existe déjà plus, vendu à la découpe, sans doute ;
– le troisième accueille des réfugiés syriens, x par chambre, et il faut téléphoner en russe pour avoir l’accueil ;
– le dernier, le plus savoureux, est une guest house tenue par un marchand de vin en banlieue (wine road, vous connaissez, bien sûr). Jolie maison, bien gardée par un chien ; il faut bigophoner en russe, prix exorbitant. Basta.
Donc camping ; on monte la tente sous la flotte.
Mais on tient le coup. Demain, le mont Gomi, la route est ouverte à 14h (cf. le post du 25 juillet).
Santé avec mayonnaise provençale, salade de saison et demi sweet 2021, toujours aussi bon. Demain, la météo est excellente, mais en écoutant ce qui nous tombe sur la tente, c’est difficile à croire…
Avoir confiance en la science…
En attendant, on boit encore le vin de Ruben !