Lever dès l’aube (enfin, presque)
Dernier coup d’œil et en route
On croise des uniformes (gendarmes, gardes frontière, rangers on ne sait pas)
– où allez-vous ?
– heu
– à Muso ?
– oui oui, c’est ça
La piste passe à 500 mètres de la Tchétchénie (falaises infranchissables).
Assez vite d’autres villages fortifiés
Un cimetière
Apparemment, ce sont de rudes gaillards, ils ont abandonné la cotte de mailles dans les années 80
En passant
La même maison avec premier plan
Puis retour à Shatili et son village
Et on passe la fin de soirée tranquille au bord du torrent.
Demain, Omalo et ses mille virages.
quel genre de vie on avait dans une pareille contrée ? si les mecs en étaient toujours à la cotte de maille, ça devait pas être marrant pour les femmes !
L’amour courtois, je vois que ça
C’est peut-être le coin qui m’étonne le plus de tout ce que vous nous avez fait découvrir !
C’est vrai que c’est bizarroïde
Yaun article de libération de 2009 qui cause de cotte de mailles :
https://www-liberation-fr.cdn.ampproject.org/v/s/www.liberation.fr/grand-angle/2009/03/13/georgie-les-saigneurs-des-agneaux_545774/