Tanir

Départ tranquille de notre petit bois.
Il reste encore des iris, la preuve…

On quitte le Taurus, à regret. Route vers le nord-est, plaine bosselée cernée de montagnes arides

Une ruine de château —dont on a pas trouvé l’entrée. C’est vers Tanir.

La centrale thermique de Elbistan


On passe à Darende sans aller voir la mosquée, fort belle d’après le guide.
Une bévue irréparable.
Finalement un bivouac proche de la route, a côté d’un pont.
Le pêcheur est entre les deux arbres

Derrière nous, la plante fétiche des hidalgos du vélo : le bouillon blanc


Et pour finir, contrôle de la gendarmerie :
– combien de temps testez-vous là ? Une nuit.
– méfiez-vous, il y a des cochons sauvages ! Nous ne dormons pas dans la tente.
– voulez-vous boire du thé à la gendarmerie ? Nous remercions poliment.
Le prochain biv sera plus discret…

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