On se baigne, on trainasse, un chouette coin. La silhouette de la ville :

on prend la route mollement en suivant la côte ; on fait des progrès : ça, ça veut dire police

ça ça veut dire Staline

Et puis on veut s’arrêter vite, mais on chipote, on monte le long de la côte, sans trouver d’endroit.
On arrive à Poti, recommandé par un pro, et c’est la cata, on trouve un train de métanol

et des rangers qui nous déconseillent l’endroit, car la Mer Noire est très capricieuse, et envahit volontiers les rivages.
Donc on monte encore au nord, presque jusqu’à Abkhasie.
Slalom routier entre les vaches et les cochons

Et on arrive ici, accueilli par le grand bidule(*) et son armée de tripodes


Et on fait bombance

Pendant que les tripodes admirent le coucher du soleil

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(*) cf. https://www.led-linear.com/gallery/lazika-pier-skulptur (signalé par Philippe Untersteller)